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Trouver et financer la maison ou l’appartement de vos rêves

Pas de doute : le prix de l’immobilier ne cesse d’augmenter. Nous avons déjà évoqué la forte hausse de prix des logements intervenue en 2021, et cette hausse s’est poursuivie – mais plus modérément – au cours des premiers mois de cette année.

Plusieurs explications à cette tendance : la rareté des terrains à bâtir, le prix de la construction, plus élevé, suite à la hausse du prix des matières premières, elles-mêmes partiellement consécutives à la situation géopolitique, le besoin de plus d’espace (effet Covid) et les taux hypothécaires qui restent historiquement bas, malgré la récente augmentation, pour ne citer qu’elles.

A cela vient s’ajouter que dans la plupart des cas, acheter reste financièrement plus avantageux que louer.

La demande est d’autant plus forte qu’on constate une baisse de l’âge moyen des intéressés : pour les maisons individuelles, il est de l’ordre de 39 ans (besoin d’espace et meilleure de qualité de vie) et pour les appartements en PPE, de 46 ans (enfants hors du nid et divorces).

Peut-on encore rêver ?

OUI ! A condition toutefois qu’il y ait adéquation entre le rêve et les moyens financiers. Certes, on évoque parfois le risque d’une « bulle » immobilière, mais les spécialistes sont d’accord pour dire que nous en sommes encore loin et tablent sur une hausse modérée du prix des logements en 2022 et en 2023.

Quant aux taux hypothécaires, ils devraient rester à un niveau relativement bas, car même si la BNS devait partiellement renoncer à l’intérêt négatif, la situation géopolitique et le risque d’inflation devraient amener les banques centrales à ne relever que faiblement leurs taux directeurs.

Il est clair qu’avec un revenu du ménage de 100’000 francs par an, il sera vain de rêver à acquérir une villa de 1.2 million de francs. Dans un tel cas – et à moins de disposer d’importants fonds propres – le budget ne devrait pas dépasser 620’000 francs environ, dont quelques 140’000 francs provenant de fonds propres, ces derniers pouvant en partie provenir du 2ème pilier.

Certes, dans les régions urbaines de Romandie, les prix sont souvent hors de portée de la plupart des budgets. Mais, pour peu que l’on soit disposé à chercher quelques kilomètres plus loin, il reste possible de trouver à se loger agréablement et confortablement et de profiter d’une belle qualité de vie. C’est la raison principale pour laquelle la demande reste particulièrement soutenue dans les régions bien desservies par les CFF ou transports en commun.

Bon pour le moral !

Tentés ? N’hésitez pas à nous contacter

Chez Bernard Nicod, nous pouvons vous proposer des biens immobiliers dans toute la Suisse romande, de toutes les tailles et pour tous les budgets.

Deux exemples : un 3.5 pièces neuf à Ollon en vente pour 600’000 francs implique des charges mensuelles (intérêts et charges de copropriété) de quelques CHF 1’100 francs par mois. Sans doute moins cher qu’une location.

Il en va de même pour une maison individuelle de 6 pièces en vente à Renens pour 1'150’000 francs : les charges mensuelles (intérêts et charges) s’élèvent à environ 2’100 francs par mois.

Il y a donc encore largement de quoi rêver ! Découvrez tous nos biens à vendre ici.

 

Le Groupe Bernard Nicod